A presque 70 euros au plus haut de l’année, voici le titre à ses plus bas niveaux non loin des 40 euros ! La première banque française est délaissée dans un contexte anxiogène du fait des dettes publiques notamment avec une forte exposition en Italie. Le secteur financier en général est à la peine mais plus particulièrement le titre au point que sa valorisation n’a strictement plus rien à voir avec son actif net beaucoup plus proche des 85 euros par action.
Graphiquement, le titre s’est inséré, depuis le mois d’octobre dans un couloir baissier très pentu. Un petit effort de stabilisation dans la zone des 44 euros a bien eu lieu mais celui-ci s’est avéré éphémère. Une nouvelle tentative d’apaisement peut encore se dessiner dans la zone des 40 euros. Le fond du trou se situe peut-être ici avec une année 2018 qu’il serait impératif d’oublier rapidement.
En résumé, une opportunité d’achat semble bien se dessiner dans la zone des 40 euros. Rappelons que les objectifs de courtiers influents se situent plus dans une moyenne proche des plus hauts annuels.
Ceux qui veulent opérer avec un effet de levier peuvent d’intéresser au turbo call citi code 81BWC strike 37 pour une échéance au 14 mars 2019. On n’insiste pas sous 39 euros.
Graphiquement, le titre s’est inséré, depuis le mois d’octobre dans un couloir baissier très pentu. Un petit effort de stabilisation dans la zone des 44 euros a bien eu lieu mais celui-ci s’est avéré éphémère. Une nouvelle tentative d’apaisement peut encore se dessiner dans la zone des 40 euros. Le fond du trou se situe peut-être ici avec une année 2018 qu’il serait impératif d’oublier rapidement.
En résumé, une opportunité d’achat semble bien se dessiner dans la zone des 40 euros. Rappelons que les objectifs de courtiers influents se situent plus dans une moyenne proche des plus hauts annuels.
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